Les genêts idiots

Publié le par Sire Planchapain

Près des genêts idiots

 

Et pâles

 

Je me couchais.

 

Je rêvais à ma source

 

Où poussaient des icorates

 

Et des idoines chêvres

 

Et des gourdiers à pattes.

 

Personne jamais ne venait m’y surprendre.

 

La voix de ma mère s’élevait.

 

Alors, Alice s’enfuyait.

 

Et tout était à recommencer.

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